Une solution de vie pour soi et la planète ? Rencontre avec Gabriel Lesquoy
Bonjour Gabriel, vous pratiquez la nourriture pranique depuis 2012. Vous êtes infirmier de formation, coach en gestion du stress et en développement personnel, thérapeute énergéticien. Cela fait beaucoup pour un seul être! (sourire).
Surtout, cela vous permet d’offrir un large panel aux personnes qui souhaitent entamer avec vous une démarche en profondeur. …
Dîtes nous comment arrive-t-on à ne plus s’alimenter ?
Article extrait du journal Soleil Levant https://www.soleil-levant.org/2018/11/se-nourrir-du-prana/
La nourriture pranique ne consiste pas en le fait de ne plus manger, mais de se nourrir en abondance et en conscience, donc au présent, de tout ce que notre vie nous offre, et accessible par nos 5 sens.
Plus encore que se nourrir pour vivre, vivre pleinement est la véritable nourriture, en complément avec le champ unifié quantique. Fonctionner de façon cohérente dans nos vies, avec notre corps et surtout nos pensées et émotions, c’est se reconnecter à ce champ et ainsi nous sommes suffisamment nourris pour ne plus avoir autant besoin de manger « conventionnellement ».
La nourriture pranique est donc aussi une véritable hygiène de vie à cultiver quotidiennement ;
c’est une formidable réponse au manger trop, trop souvent, trop mal.
Pouvez-vous définir en quelques mots ce qu’est le prana ?
C’est l’énergie universelle de vie, baptisée scientifiquement « biophoton » en 1973 par le Pr physicien allemand Fritz Albert Popp.
Cette énergie naturelle selon les cultures et Traditions, est aussi appelée chi, ki, manas, pneuma, ruah, wakonda, lumière pour les chrétiens, etc.
Plus subtilement, cette lumière se décline en : lumière produite par le soleil, celle produite par l’état d’alignement de la tête qui pense avec le corps qui ressent, lumière de l’état de conscience au présent, et celle du coeur qui produit alors un champ électro-magnétique propice à la santé, au bien-être général et à une véritable joie, profonde et durable.
Comment peut-il nous maintenir en vie ?
Cela est sous-tendu par les neuro-sciences, la recherche quantique, l’épigénétique, etc. Dans son essence, l’énergie universelle de vie sous-tend toute forme de vie sur Terre. Le non manifesté sous-tend le manifesté ; de même, le quantique sous-tend le biologique.
Notre corps physique est vibratoire, énergie, avant d’être biologique et tangible, appréhendable par la vue et le toucher.
Ce sont surtout des cristaux d’apatite, ayant la capacité de piézoluminescence, situés dans la glande pinéale, l’émail des dents, le squelette, le tissu conjonctif, les ganglions, etc, qui captent le prana dans l’atmosphère le transmettent à la cellule par les chakras, les méridiens, etc..
A partir d’une protéine enzymatique, le cytochrome c oxydase, l’usine qui produit le carburant dans la cellule, la mitochondrie, produit et libère dans l’organisme, l’ATP, notre carburant au quotidien.
Dans notre dossier « Urgence planète Terre » nous posons la question : la nourriture pranique est-elle, selon vous, une source de solutions durables pour la sauvegarde de notre espèce ?
Absolument. Manger moins, mieux se nourrir, c’est privilégier la qualité à la quantité, c’est donc économiser les ressources
naturelles de la planète, c’est prévenir son appauvrissement, mieux répartir ses ressources, potentiellement amener une réelle solution à la faim dans le tiers monde.
Quels conseils donneriez-vous à une personne motivée pour y arriver ?
Ne pas chercher l’arrêt de la nourriture conventionnelle, mais bien plus pertinent, cultiver une cohérence et harmonie de fonctionnement entre les besoins alimentaires du corps et la gestion des pensées et émotions.
En effet, nous mangeons beaucoup plus pour nous remplir que pour nous nourrir !
La nourriture pranique est une magistrale voie initiatique de meilleure connaissance, maîtrise de soi, par le biais d’une hygiène de vie optimisée au quotidien.
C’est initialement manger moins et mieux (nous mangeons trop, trop souvent, trop mal), sur une base de fruits et légumes désacidification, rééquilibration acido-basique) et pratiquer la pause alimentaire, par exemple 24 hrs/semaine (détoxination).
La nourriture pranique est-elle accessible à tous ?
En tant qu’hygiène de vie optimale, transformer les compensations en gestions tel que contrariétés émotionnelles, croyances limitantes, schémas de répétition erronés, etc., oui, bien sûr !
A quels obstacles sont confrontés les prétendants praniques ?
L’obstacle principal est de faire du forcing, agir avec sa volonté plutôt que d’écouter et respecter son corps ; le mental égotique agit dans la volonté, ce que n’est pas la nourriture pranique. Sa dimension spirituelle est d’apprendre à ralentir nos vies effrénées, et se nourrir au présent, du présent, à partir d’une reconnexion en conscience à tous les niveaux physiques et cognitifs de notre être.
Accompagnez-vous en guidance nourriture pranique ?
Tout à fait, soit individuellement à distance via skype et téléphone, soit en stage résidentiel collectif (voir le site), lors d’un processus en nourriture pranique ou nourriture conscience, en parallèle d’une pause alimentaire de 7, 14 ou 21 jours.
Pour quelles raisons les personnes font-elles appel à vous ?
Les motivations les plus fréquentes s’appuient sur les bénéfices de la nourriture pranique : une meilleure santé, un plus grand équilibre psycho-émotionnel, une vitalité et joie sans faille, une ouverture sur le plan spirituel, une plus grande conscience, une véritable dynamisation du potentiel de réalisation de soi, etc.
Y-a-t-il des contre-indications à suivre vos stages ?
Oui, je ne prends ni les mineurs, ni les femmes enceintes, ni les personnes à la santé trop fragilisée relevant de la prise en charge médicale en priorité, ni les individus instables psychologiquement, etc.